Binti, une enfance dans la tourmente africaine de Déborah Ellis (Niveau 6ème)
Sujet : Binti, une jeune fille de 13 ans, a une existence agréable et bien réglée entre son père, sa sœur et son frère. Mais un jour, son père décède du sida. La vie de Binti et des siens s'en trouve totalement bouleversée.
Le sigle de l'aile d'Evelyne Brisou-Pellen (Niveau 4ème)
La nouvelle tombe comme un coup
de tonnerre : l'Empereur Napoléon a fui l'île
D'Elbe et marche sur Paris !
Maximilien lui voue une admiration sans
borne et ne comprend pas que cet événement
plonge son tuteur Urbain dans un mal étrange.
Maladie ou sorcellerie ? Y aurait-il un rapport
avec le passé de soldat du télégraphiste ?
Le jeune garçon va tenter de percer le mystère,
et c'est alors que surviennent des événements
stupéfiants... ..
Le destin de Maximilien serait-il lié à celui de
l'Empereur ?
Arria Marcella et le pied de momie de Théophile Gautier; la vénus d'Ille de prosper Mérimée; Petite discussion avec une momie d'Edgar Allan Poe (nouvelles fantastiques du 19ème siècle) (Niveau 3ème)
La statue d’une Vénus à la beauté ensorcelante et au regard féroce a été déterrée dans un petit village des Pyrénées. Est-elle aussi maléfique que les villageois semblent le croire ?
Un jeune homme achète chez un antiquaire le plus joli pied de momie qu’il lui ait été donné de voir. Le propriétaire légitime va lui rendre une petite visite… Poe, Mérimée et Gautier jouent du fantastique et du réalisme, faisant vivre l’Antiquité au XIXe siècle.
L'hiver des loups d'Evelyne Brisou-Pellen (niveau 6ème)
Poursuivi par les loups qui pullulent en cet hiver très froid, Garin trouve refuge dans une maison isolée où vit Jordane, seule avec ses deux petites sœurs. Qui est-elle ? Garin se rend compte que les villageois en ont peur, presque autant que les loups qui les encerclent. Mais il découvre bientôt que dans ce village retiré de Bretagne, bien des gens ont intérêt à voir Jordane disparaître. Malgré les conseils de prudence, il prend pension dans la maison solitaire. Il ne peut pas savoir, que du haut de la colline, des yeux épient...