Les premières photos du nouveau CDI

Voici les premières photos du nouveau CDI, Depuis mardi, le déménagement a commencé, c'est impressionnant de voir les nouveaux locaux qui commencent petit à petit à se remplir...
Les élèves nous aident à transporter les documents, les meubles... 23 mètres de long! impressionnant, de nouveaux rayonnages neufs... Les élèves ont de la chance... Ceci est le dernier article de cette année scolaire. A l'année prochaine! dans un CDI flambant neuf!!!!

Sortie pédagogique des 5èmes (suite)

Dernière visite : le château de Chareil-Cintrat, à 10 km au Sud de Saint Pourçain



Au cœur du département de l’Allier, le château de Chareil-Cintrat fut d’abord une forteresse avant de devenir cet élégant édifice de la seconde Renaissance française.

Le château, au pied d’une colline, semble dominer la campagne environnante entièrement dédiée à la vigne. D’ailleurs le jardin du château et devenu « conservatoire des anciens cépages des pays de Chareil et de Saint Pourçain », qu’il est agréable de parcourir.

Fief des Bourbons à l’origine, au XVIème siècle il passa aux mains de Claude Morin, « Contrôleur ordinaire des Guerres » et commanditaire des travaux de rénovation du château.


Si l’architecture du château est d’une remarquable sobriété et inspire calme et confiance, l’intérieur est d’une exceptionnelle qualité par ses décors peints reprenant les thèmes antiques et notamment la mythologie, ses sculptures d’une grande finesse et autres riches ornements…
Le château Renaissance de Chareil-Cintrat offre en effet un véritable voyage à travers l’art et l’humanisme de la Renaissance. Toutes les salles sont ornées de peintures murales du XVIe siècle, illustrant les cinq sens, la mythologie, l’astrologie et s’inspirant de l’Antiquité. Des décors peints et sculptés ornent les cheminées monumentales et les plafonds.



Le château est propriété de l’Etat depuis 1954 et classé monument historique.

Sortie pédagogique des 5èmes (suite)

Il y a 2 orgues dans la cathédrale, Madame Pironin, professeur de musique a donné des explications sur l'orgue de choeur.


L'orgue de chœur est un orgue acheté en 1933 pour la cathédrale par M^gr Augustin Gonon, évêque de Moulins depuis 1926,lui-même organiste, qui assumait financièrement l'ensemble ou une bonne part de l'opération. L'instrument fut opérationnel à l'automne 1933.


La façade du pavillon Anne de Beaujeu (qui se trouve juste à côté de la cathédrale) a été commentée par Madame Périchon, professeur d'Arts plastiques.

De l'imposant château construit du XIVe au XVIe siècle par les ducs de Bourbon, seuls subsistent aujourd'hui le donjon du XIVe baptisé la « Mal Coiffée » et le pavillon Renaissance qui abrite le musée. Le pavillon Anne de Beaujeu présente l'exceptionnel intérêt d'être le premier édifice de la Renaissance française, construit entre 1488 et 1503.

Sortie pédagogique des 5èmes à Moulins le 9 juin 2011

Dans le cadre de l'enseignement de l’Histoire des Arts, les élèves de 5ème se sont rendus le jeudi 9 juin à Moulins.

Au programme: visite de la cathédrale.









Cette église fait l'objet d'un classement au titre des monuments historiques depuis 1875.

La basilique Notre-Dame de l'Annonciation de Moulins est la cathédrale du diocèse de Moulins.

Remplaçant une chapelle de la fin du X^e siècle, à l'origine dédiée à saint Pierre, la « collégiale des Bourbons » fut construite à la fin de l'époque médiévale. Partie la plus ancienne de l'édifice actuel, construite en style gothique flamboyant, sa première pierre fut posée en 1468 . Les travaux s'achevèrent en 1450.

La collégiale fut érigée en cathédrale en 1823 lors de la création du diocèse de Moulins.

L'achèvement de la cathédrale fut un des chantier d'architecture les plus importants au XIX^e siècle dans l'Allier. Décidé par l'évêque de Moulins, Antoine de Pons de la Grange, la nouvelle cathédrale s'avérant trop exigüe, il fut mis en œuvre par son successeur, Pierre de Dreux-Brézé.Ces ajouts architecturaux furent réalisés en style néogothique.

La cathédrale est surtout célèbre pour son triptyque de la « Vierge en gloire », chef d'œuvre du XVI^e siècle réalisé par un artiste qui n'a jamais été identifié, le Maître de Moulins. Mais on peut y admirer également une Vierge noire du XI^e siècle.

















Les nombreux vitraux de la cathédrale sont de l'époque gothique. La plupart représentent leurs donateurs regroupés autour d'un grand sujet. Au XV^e siècle, il était fréquent que les notables financent les vitraux et que ces donateurs se fassent représenter dans ces œuvres, parfois avec leur famille proche.













On peut voir aussi un groupe sculpté gothique flamboyant représentant la « déploration/mise au tombeau du Christ ».

Cet ensemble de sculptures diffère sensiblement des habituelles « Mise au tombeau. » C'est un cortège de personnages défilant devant le Christ mort dont la tête est orientée du côté droit.

1er juin: visite d'une boulangerie par les 6èmes 2

Jeudi 1er juin, toute la classe de 6ème 2 a pu découvrir les différentes étapes de la fabrication du
pain grâce aux nombreuses explications données par Monsieur Jouannet aux élèves. Voici une synthèse extrait du site :www.espace-pain-info.com

	La fabrication du pain en 8 étapes:

	••• Etape n°1 : le pétrissage Le boulanger met dans son pétrin : - de la farine, - de l'eau, - du sel, - de la levure. Le pétrin tourne. C'est le pétrissage. Le boulanger obtient une grosse boule de pâte.
	••• Etape n°2 : le pointage Le boulanger retire la grosse boule de pâte du pétrin. Il la dépose dans un grand bac en plastique. Le pâte se repose. Elle commence à gonfler, grâce à la levure qu'elle contient. C'est le pointage.
	••• Etape n°3 : la division Le boulanger partage la grosse boule de pâte en petites boules. C'est la division. Chaque petite boule s'appelle un pâton. Tous les pâtons doivent peser le même poids.
	••• Etape n°4 : la détente Les pâtons se reposent un peu. C'est la détente.
	••• Etape n°5 : le façonnage Le boulanger prend un pâton. Avec ses deux mains, il allonge la boule pour former une baguette. C'est le façonnage.
	••• Etape n°6 : l'apprêt Le boulanger pose les baguettes crues sur un tissu. Ce tissu a un drôle de nom : c'est une couche. Les baguettes se reposent et gonflent encore plus. C'est l'apprêt.
	••• Etape n°7 : la cuisson Avec une lame de rasoir, le boulanger fait des traits réguliers sur chaque baguette crue. Puis il enfourne les baguettes. C'est la cuisson.
	••• Etape n°8 : le défournement Les baguettes sont bien cuites. Le boulanger les sort du four. C'est le défournement. Attention, la baguette toute chaude est fragile.

Histoire de la famille Jouannet ( extrait du site : paindemeule.com/histoire.php)

Raymond et Marie-Thérèse Jouannet, nivernais d’origine et issus d’une longue lignée de boulangers, s’ installent en 1959 à Vichy rue Maréchal Lyautey. Richard, fasciné dès son plus jeune âge par la fabrication du pain, et le savoir faire de son père, travaillera à ses côtés pendant de nombreuses années. En 1992, il reprend avec succès l’entreprise familiale à la quelle il fait honneur, puisqu’ aujourd’hui la notoriété et le chiffre d’affaires de la Maison Jouannet ne cessent de grandir. En 1998, il ouvre un sixième point de vente au marché couvert de Vichy et l’année suivante lance le Pain de Meule® ( marque déposée ), un pain authentique au goût d’autrefois, qui deviendra rapidement le produit phare et l’identité de l’entreprise . Actuellement, il dirige une équipe de 22 personnes, approvisionne les six points de vente de La Maison Jouannet au quotidien et consacre beaucoup de temps à sa passion : la mise au point de nouveaux pains originaux et goûteux pour sa clientèle et ses nouveaux affiliés.